Hit, destroy and run ! [PV Harley]

Hit, Destroy and Run !A normal day in a life of a photographer... like me
Gotham City. Puissante mégalopole mondiale reconnue par tous. J'ai débarqué depuis peu et j'ai l'impression de ne pas être au bout de mes surprises... A peine arrivé en ville que je vois des gens se faire voler. Sacrée ville, je l'aime déjà !
Il faisait plutôt gris à ce moment-là. Nous étions tôt le matin, un peu avant 9 heures et j'étais sorti faire un tour. Habillé d'une veste en cuir surmontant un t-shirt noir, un jean simple et des baskets marrons à lacets blancs, j'arpente les rues d'un coin peu recommandé de la ville, je prenais des photos des quartiers jusqu'à ce que je braque involontairement mon objectif sur des individus louches étant montés dans une voiture. J'ai pris l'habitude de reconnaître les criminels les plus stressés ou mal à l'aise, et j'en avais un énième exemple sous les yeux. Par chance, je vis un taxi libre et j'entre alors à l'intérieur hâtivement, demandant au chauffeur de suivre la voiture.
Il le fit, et nous avons passés plusieurs pâtés de maison pour finalement nous retrouver dans une longue rue. Les criminels avaient garés leur voiture à l'entrée d'une ruelle, et j'ai demandé au chauffeur de s'arrêter quelques mètres avant.
Après avoir jeté une liasse de billets estimée à environ cinquante dollars, je sors du véhicule et suit discrètement ce gang se faufiler dans cette ruelle.
Malheureusement, je ne pourrai pas les suivre longtemps en me faufilant dans leur dos. J'opte alors pour un peu d'escalade/parkour.

Je parviens à sauter et atterrir aisément sur un balcon dans la ruelle.
Je suis le gang de balcons en balcons jusqu'à ce qu'ils arrivent en-dessous d'un pont de tramway. Un autre petit gang les attendait. J'en profite pour sortir mon appareil photo que j'avais pris sans réfléchir et je prends plusieurs images de la scène. L'échange a lieu, cela semble concerner de la drogue.
Mais quelle ne fut pas ma foutue chance quand je vois l'un des criminel me repérer sur mon balcon.
Je n'ai pas trop le choix que de descendre, mais au lieu de devoir me mettre à me cacher des balles, je vois qu'une autre personne semble attirer l'attention des criminels.
Bon, je suis plutôt chaud bouillant en ce moment, je crois que je vais me défouler un peu, ça me fera du bien.
Je descends et m'approche finalement du lieu de l'échange, déterminé à en découdre, tandis que mes cibles semblent s'adresser de manière crue à la nouvelle personne étant arrivée.

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hit, destroy, run

why do we fall ?

« hush little baby, don't say a word. momma's gonna kill for you the whole damn world. and if they don’t laugh at our jokes, momma’s gonna stab out their goddamn throats. and if they start to run away, momma’s gonna paint the streets with blood. and once the blood starts to wash off, momma’s gonna blow some more heads off. and if the world still doesn’t laugh, momma’s gonna go and poison 'em. and once the poison does its job, momma’s gonna show you your legacy. and if the world still tries to fight, momma’s gonna burn their houses down. and if you grow up with his smile, momma’s gonna be so proud of you. »

S'il y avait quelqu'un que l'on pouvait aisément redouter, c'était bien le Joker. S'il y avait une autre personne à laquelle on ne voulait pas se confronter, c'était son bras droit ; l'arlequin. Imprévisible, impitoyable, impulsive. Ses colères explosaient comme la frustration qui grandissait au moindre coup de pression qu'elle se prenait dans la tronche. La bonne humeur n'était pas constante chez Harley, mais s'il y avait bien quelque chose qui avait le don de lui redonner la pêche, c'était de lui permettre d'aller massacrer quelques gus qui ne respectaient pas les règles. Chaque gang avait son propre territoire. Et ce derniers temps, beaucoup trop des hommes du clown avaient remarqué des transactions, des trafics qui n'avaient pas lieu d'être, ici, sur ces terres. Sur leurs terres. Costume de rouge et de noir, reconnaissable entre mille ; c'est d'un pas sautillant que l'arlequin se baladait dans les rues matinales, bien qu'à leurs habitudes sombres, de Gotham ; patrouillant. Bien une demie-heure s'était déjà écoulée jusqu'à ce que, finalement, au loin, elle aperçoive des masques reconnaissables ; mais qui n'avaient rien à faire ici. Un sourire s’immisça au coin du visage de la blondinette, dont les couettes s'agitaient d'affolement dans l'air frais. « Excusez-moi de vous déranger, messieurs... » leur adressa-t-elle pour attirer leur attention. « ...mais je crois que vous n'avez rien à faire ici. » finit-t-elle d'un ton rauque, significateur ; attrapant le maillet qu'elle trimballait dans son dos. « C'est Harley Quinn ! » s'écria l'un d'entre eux. L'arlequin eut un rire, avant d'asséner un coup au malfrat qui venait de sortir un couteau. « Vous n'avez pas été sages ; il va falloir que je vous donne une bonne fessée ! » déclara-t-elle, éclatant d'un nouveau rire. Elle évita un premier coup qu'on tenta de lui donner au visage, et entama quelques acrobaties pour éviter les mouvements des autres qui essayaient de lui donner des coups à leur tour. « Yiiiha ! » @jordan e. broom

Back in BlackAnd my enemies are afraid, because seeing me approaching them, they already know that it is over for them
J'atterris au sol d'aspect lourdement, soulevant un nuage de poussière sur mon chemin. Les criminels sont désemparés, pris entre deux feux.
Deux d'entre eux se concentrent sur moi, tandis que le reste se concentraient sur ce qui semblait être une femme, probablement une femme aussi impliquée qu'eux.
Je ferme les yeux, inspire un bon coup, tandis que des mèches blonds pâles apparaissent sur ma coiffure. J'ouvre mes yeux, d'un bleu étincelant, étincelant comme les quelques étincelles qui m'entouraient telle une aura.
Je fonce alors à toute vitesse sur ces deux rigolos, qui n'ont rien vu venir.
J'ai la capacité de me mouvoir très rapidement. Peut-être pas autant que le Flash, mais je ne reste pas sans restes. Un petit sprint me permet de me retrouver derrière les deux crétins, qui parviennent à peine à tourner la tête pour me voir que je laisse s'exprimer l'électricité sur mon sillage, qui frappe de plein fouet les deux gangsters, les mettant KO sans tarder.

Je vois alors le combat entre les autres et la femme. La plupart des gangsters foncent sur elles, désarmés. Quelle bande de bras cassés. Faudrait leur apprendre leur "métier" maintenant ?
J'use à nouveau de ma grande vitesse pour fondre sur les plus éloignés de la femme. Durant ma course, je frappe le premier à la tête d'un coup de poing, le second d'un coup à l'abdomen, le troisième d'un coup de genou dans les joyeuses, et enfin les deux derniers que je termine d'un uppercut.
Finalement, cette fameuse femme et moi parvenons un instant à avoir un échange de regard, durant lequel je n'ai pu m'empêcher de lui exprimer un clin d’œil et un léger sourire qui voulait à la fois tout et rien dire.
Mais la fête était loin d'être finie, en effet, l'un des gangsters parvient à faire rappliquer ses collègues, qui viennent alors participer à notre "petite fête".
J'aime ce sport, je commence à me montrer maître dans ce dernier !
Sans m'en rendre compte, je m'étais rapproché de la blonde, et tandis que je lance un regard de défi aux gangsters, je laisse mon aura électrique s'exprimer de plus belle, le sourire aux lèvres. Me manque plus qu'une bouteille et un album d'ACDC pour être complètement à l'aise ! J'aurais dû penser à prendre mon lecteur sur moi... J'aurai pu ajouter du piment à cette histoire !

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hit, destroy, run

why do we fall ?

« hush little baby, don't say a word. momma's gonna kill for you the whole damn world. and if they don’t laugh at our jokes, momma’s gonna stab out their goddamn throats. and if they start to run away, momma’s gonna paint the streets with blood. and once the blood starts to wash off, momma’s gonna blow some more heads off. and if the world still doesn’t laugh, momma’s gonna go and poison 'em. and once the poison does its job, momma’s gonna show you your legacy. and if the world still tries to fight, momma’s gonna burn their houses down. and if you grow up with his smile, momma’s gonna be so proud of you. »

Les choses se sont déroulées très rapidement. Harley, elle était ici pour remettre à leur place quelques malfrats qui traînaient sur son territoire – enfin, celui de Monsieur J. Et voilà qu'un autre gars, inconnu du bataillon, débarque pour leur faire la peau aussi ! Lorsqu'il arrive à son tour, la blonde est bien trop occupée pour lui adresser la parole. Elle esquive un nouveau coup de poing qui lui était destiné, un peu de justesse ; heureusement qu'elle avait de très bons réflexes, autrement elle se le serait pris en pleine tronche. Elle se concentre de nouveau, attrape les crânes de deux d'entre eux, et les éclate l'un contre l'autre. Elle continue son périple, les assomme les uns après les autres, jusqu'à ce que la foule se remplisse de nouveau. « Oh, crap ! » elle s'exprime. « Bon sang, mais vous êtes combien ? C'est interminable ! » elle rajoute. Les autres mangent le sol, et elle se tourne vers les nouveaux venus. « Envie de se faire botter l'arrière-train aussi ? Calmez-vous, il y aura pour tout le monde ! » elle annonce. « On va te faire payer, Quinn ! Toi aussi, weirdo ! » Harley, elle lève les yeux au ciel, et se tourne vers l'inconnu à ses côtés. « Harley Quinn, nice to meetcha ! Je ne pense pas que ce soit Puddin qui t'envoie, vu ce que tu sais faire. » Elle passe le regard de son visage jusqu'à ses pieds, insinuant les pouvoirs dont il était apte, et exerce une acrobatie pour éviter un premier gars. « Tu prends les quatre à droite, je m'occupe des autres ? » Une question rhétorique, puisqu'elle ne lui laisse, de toute façon, pas le choix. Elle s'élance vers les malfrats de son choix, et il ne fallut même pas cinq minutes pour qu'elle se débarrasse d'eux. Une fois les hommes à terre, elle se tourne de nouveau vers son partenaire de crime. « On forme une bonne équipe ! » elle plaisante. « Je ne t'ai jamais vu à Gotham, tu ne dois pas être ici. Tu viens d'où ? Et tu fais quoi ici ? Tu joues au héros ? » Elle sort une arme à feu, relève les yeux vers lui d'un air menaçant. Puis, finalement, elle pointe son arme vers les bonhommes à terre, et tire dessus. « Bienvenue chez les fous ! Ici, la demeure du Joker. » elle rajoute, s'inclinant dans une gracieuse révérence. « Maintenant, si tu permets, il faut que je débarrasse ce cruel monde de ces crétins ! » Elle pointe de nouveau son arme, cette fois-ci sur les autres, et tire plusieurs fois. Mais, au loin, elle entend une sirène. Elle soupire bruyamment, ennuyée, et s'accroupit vers le dernier encore en vie. « Je reviendrais pour toi. » Avant de s'éclipser dans une petite ruelle non loin, prête à se cacher des poulets qui débarquaient. @jordan e. broom