atomic ღ barley

« hush little baby, don't say a word. momma's gonna kill for you the whole damn world. and if they don’t laugh at our jokes, momma’s gonna stab out their goddamn throats. and if they start to run away, momma’s gonna paint the streets with blood. and once the blood starts to wash off, momma’s gonna blow some more heads off. and if the world still doesn’t laugh, momma’s gonna go and poison 'em. and once the poison does its job, momma’s gonna show you your legacy. and if the world still tries to fight, momma’s gonna burn their houses down. and if you grow up with his smile, momma’s gonna be so proud of you. »

« vous n'avez rien à faire ici ! » il criait, le malheureux. tentative désespérée, tandis qu'une ribambelle d'hommes de main aux couleurs noires et rouges s'imposaient dans la mairie. à son passage, un larbin asséna un coup au gardien, qui s'étala sur le sol. acte de chaos, dont harley quinn seule pouvait se vanter. il fallait en avoir sacrément dans les tripes, pour oser débarquer ici. mais tout bon sens de morale s'était déjà dissipé depuis longtemps, pour l'arlequin. blondinettes aux couettes balancées, reconnaissables entre mille. de ses deux mains, elle poussa les portes, et tomba nez à nez sur une réunion engageant le maire, et... son conseil, peut-être ? elle haussa les épaules ; qui étaient ces gens ne lui importait que trop peu. « navrée de vous déranger en pleine après-midi, messieurs dames, mais l'heure du goûter est finie ! » elle ricana méchamment. « occupez-vous des autres ! » elle ordonna à ses hommes, qui s'exécutèrent immédiatement. les sept personnes présentes furent emportées par un larbin chacune, emmenées dans d'autres pièces. ces pièces, qu'ils condamnèrent ensuite à l'aide de pièges. la blondinette, elle, de son côté, resta dans la salle de réunion, et s'approcha lentement du maire, tel un prédateur. « salut, hady ! ça fait un bail, dis-moi. tu m'en veux pas, j'espère ? » elle s'arrêta à son niveau, lui attrapant le bras pour le tirer vers elle puis le pousser contre une chaise qui couronnait le grand bureau rectangulaire. « tu ne m'en veux pas si je dépèce la peau de ton corps ? » à la vue de sa mine effarée, elle éclata de rire. « tu vas te tenir à carreau, c'est compris ? » @barbara e. gordon