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Défendre le GCPD
Harley Quinn

Un retour à Gotham City, ça faisait bien longtemps qu’elle n’a plus mis les pieds dans cette ville. La première fois, c’était à son arrivée dans le monde des Hommes et on peut dire que ça ne lui avait pas donné une bonne image. Heureusement, elle a pu rencontrer des gens qui ont rapidement changé sa vision de ce monde. L’une de ces personnes est Dick Grayson, plus connu sous le pseudonyme de Nightwing et protecteur de Gotham ainsi que Blüdhaven. Un jeune homme plutôt gentil et attentionné, blagueur et un peu séducteur. Cela dit, elle le considérait comme un ami proche et le premier homme avec qui elle a pu considérer comme tel. Actuellement, elle a pu voir le monde sous différents angles et pas qu’à Gotham, mais partout où elle se rendait. Metropolis, San Francisco, Athènes ou encore, Paris, elle voyageait le plus souvent possible pour sa curiosité et son métier de photographe. Ce monde est rempli de mystère, de beautés comme de mauvais. Il y avait une balance, ça rendait le monde surprenant, peu importe les découvertes de la brune. Cela dit, elle aurait préféré se trouver ailleurs qu’à Gotham à cet instant précis. Comment Dick ou d’autres puissent vivre dans un tel Enfer ? Il fallait un courage et un mental d’acier, digne d’Héraclès pour rester vivre et combattre le crime.

Sur un toit, Donna avait donné rendez-vous à Nightwing afin de pouvoir discuter avec lui ou patrouiller dans Gotham à ses côtés. Cependant, ce dernier mettait du temps à venir et comme d’habitude, il ne donnait jamais sa position en voulant se débrouiller par lui-même. Contrairement à l’Amazone, il n’avait aucun pouvoir et donc il ne peut pas voler. Il allait mettre du temps à venir, c’était obligé. Heureusement, il ne pleuvait pas, car la jeune Troy se sentirait un peu bête à l’attendre ainsi. La brune ne se trouvait pas loin du GCPD, un commissariat de police. Les agents de la paix devaient avoir beaucoup de boulot dans cette ville, bien plus qu’ailleurs à vrai dire. Elle est même étonnée qu’il y a toujours des policiers avec tous ses criminels et psychopathes dans cette ville. En y pensant, cette ville lui faisait penser au Tartare, surveillé par des gardiens pour qu’aucun de ses monstres puisse rester longtemps de sa prison. Soudain, elle entend des coups de feu dans le commissariat. Un raid de la part de criminel dans un tel endroit ? Ils n’ont peur de rien dans cette cité, chez les criminels. Cependant, Troia n’allait pas laisser des innocents se faire massacrer sans rien faire du tout. La justicière allait devoir y aller et tant pis pour Dick, il n’avait pas qu’à être en retard. Batman ne semblait pas être là ou si, elle n’en savait rien, mise à part qu’un signal lumineux éclaircit le signe avec le symbole de la chauve-souris. Une lumière parmi les ténèbres, un espoir qu’attendaient ceux se trouvant dans les locaux de la police.

L’ennemi devait s’attendre à l’arrivée du Batman, de Nightwing, Batgirl ou d’un autre héros de Gotham. Dommage pour eux, ils n’ont pas dû s’imaginer que ce serait une Amazone qui viendra leur botter les fesses. Ne connaissant pas les habitudes de la Batfamily, elle ne va pas rejoindre la personne se trouvant sur le toit, mais ceux étant en danger. Entrant de force en faisant exploser un mur depuis l’extérieur, la brune lance son bouclier dans le tas. Ce dernier ricoche sur trois individus avant de revenir vers elle et le mettant devant elle pour se protéger des tirs. Lasso en main, elle en ligote un pendant que les autres recharges et le fait valser sur trois autres criminels. « Repliez-vous ou aidez-moi à les combattre ! » Crie l’Amazone aux forces du GCPD. À présent, ils ont de l’aide, celui d’une Amazone aussi bien entraîné et doué que Wonder Woman. Il fallait bien qu’il profite de cette chance pour riposter ou déplacer les blessés en lieu sûr. Les ennemis sont tous déguisés en clowns, une farce ? Elle n’aimait pas cela. Le Joker serait-il dans le coup ? Elle avait entendu parler d’une Arlequin, mais juste rapidement. Les ennemis de Dick sont ses ennemis, mais le duo ne parle pas souvent de leur ennemi. Maintenant qu’elle y pense, la fière Princesse devrait échanger quelques informations avec ses proches, juste au cas où. Donna en chope un par la gorge après avoir nettoyé le dernier étage, mais il est clair qu’il devait en rester dans les étages en dessous. Regardant celui qu’elle a capturé, elle le soulève de terre et d’une main. « Dis-moi où est celui qui commande ses clowns ? Crois-moi, ça t’évitera de passer à travers la fenêtre. » Dit-elle d’un ton sombre.

Défendre le GCPD
Harley Quinn

Coup de feu au GCPD, absence de présence d’un ami, la patience à ses limites. Ce n’est pas sa ville, mais elle n’a besoin de la permission de personne pour agir. Batman arrivera peut-être quand ça sera terminé, qui sait. En tout cas, Donna Troy n’allait pas laisser ses criminels s’en tiraient à si bon compte ni les laisser continuer leur massacre. Il y a des innocents dans ces lieux, des pères et mères de famille, des frères, des sœurs, des gens attendent la fin de journée ou de services pour les revoir. Évidemment, l’Amazone ne pourra pas sauver tout le monde, mais elle fera le nécessaire pour éviter que tout le commissariat se fasse tuer. Inutile de passer par la porte, il fallait faire vite et éviter que ça monte jusqu’au toit pour tuer celui qui s’y trouve et de tenter de piéger le Batman dans une embuscade. Défonçant un mur avec l’aide de son bouclier, elle pénètre avec force dans la bâtisse. Elle neutralise les assaillants à cet étage et en capture un afin de l’interroger sur qui commande et où il se trouve. Ce pauvre fou ne savait pas où se trouve celui qui commande les troupes de fou furieux. Selon lui, cette personne pouvait se trouver n’importe où, car ils s’étaient tous dispersés dans le comico pour tirer sur les agents de police. Donna le regarde avec un air noir et l’assomme en le tapant à la tête. « Tsss…Taré. Que des boulets. » Dit-elle en descendant à l’étage inférieur. Le commissariat n’est pas très grand, il devait y avoir quatre étages ? Et la brune était au dernier étage, elle va bloquer ceux voulant aller plus loin. Bouclier à la main gauche et la main droite libre pour son épée, son lasso ou se battre à mains nues.

Il fallait neutraliser la menace qu’étaient ces clowns et trouver la personne à la tête de cette opération macabre. La brune se met à descendre au troisième étage et à se montrer violence envers ses fous. Bracelets magiques pour repousser les projectiles ou son bouclier par envie lorsque les projectiles étaient beaucoup trop nombreux à son goût et pour mieux protéger les policiers blessés. Peu importe la folie qui emportait ses hommes et femmes déguisés en clowns, Troia n’aura pas de pitié pour eux. Évidemment, elle ne les tuera pas, car ça sera contre le code moral de beaucoup de héros. De plus, elle ne voudrait pas mettre Batman et ses alliés à dos. Tuer n’était pas une solution, ça la rendrait moins meilleurs que ceux qu’elle affronte actuellement. De plus, tuer est un choix facile, une solution facile pour eux dont la souffrance et la prison seraient un châtiment meilleur dans leur cas. Ils se ressasseront leur peur, leur regret ou encore, le souvenir d’avoir commis un acte impardonnable qui leur aura fallu être enfermé en prison. Il y a quelques policiers de vivants et qui protègent leur collègue de ses assaillants en leur tirant dessus ou en les transportant en lieu sûr après avoir eu une ouverture de la part de Donna. Il fallait tout faire pour les aider et ce n’était pas facile, car la brune n’est pas omniprésente. Elle descend au deuxième étage pour nettoyer la zone et elle en chope un au passage. « Dis à la personne qui vous dirige à me venir à moi. Je l’attends de pied ferme. » Dit-elle en le balançant contre un mur et le laissant descendre jusqu’au rez-de-chaussée. En attendant, elle allait devoir s’occuper de nettoyer le deuxième étage, usant de sa force, pouvoir et équipement de combat.

Du rez-de-chaussée ainsi qu’au premier étage, on pouvait entendre les coups de feu ainsi que des cris de la part des hommes de main du Joker. Il n’y avait pas que ça, ils criaient en donnant des ordres ou en insultant. On pouvait croire que le Batman était dans le commissariat, qui était en train de neutraliser tout le monde. Cependant, ce n’était pas le cas, mais bientôt, ils seront qui est venu prêter main-forte au GCPD. De là, la personne qui commande les clowns sera bientôt informé, après tout, Troia avait laissé l’un des hommes fuir vers le rez-de-chaussée pour la prévenir. En espérant que cette personne ne sera pas assez folle pour venir se confronter à une guerrière Amazone, bénie par les Olympiens. Chopant le dernier clown au second étage, par la gorge, elle le fait passer à travers la fenêtre, toujours en le tenant. Un regard sévère et froid. « Tu mérites la mort, cependant, ça serait un châtiment bien trop facile pour toi et tes pathétiques amis. Vous irez à Blackgates et vous maudirez le jour où vous avez quitté le droit chemin. » Dit-elle avant de le balancer contre un mur, le fracassant légèrement. Elle se frotte les mains, regardant le désordre à cet étage. « Les femmes de ménage risquent d’avoir beaucoup de boulot, dès que ça sera plus calme. » Dit-elle en soupirant.

Défendre le GCPD
Harley Quinn

Un peu de ménage dans le GCPD, ça faisait pas de mal. Il y avait trop d’insecte nuisible dans cette bâtisse. Et il semblerait que le GCPD ne soit pas suffisamment doué pour s’en occuper. Cela dit, ils avaient peut-être été pris par surprise et ils n’ont pas eu le temps de réagir correctement. En même temps, personne n’aurait eu l’idée d’attaquer un poste de police comme ça. En même temps, Donna se trouve à Gotham City et la folie ainsi que le côté imprévisible du crime est l’un des points forts de la criminalité de la cité. Dommage pour eux, ils ne vont pas avoir affaire à un humain, mais à une guerrière Amazone qui est très douée en combat et dispose d’équipement divin. En tout cas, la jeune femme avait réussi, sans grand mal, à nettoyer ces clowns sur deux étages. Or, le mieux à faire, c’était de s’occuper de celui qui commandait ces fous et le neutraliser rapidement. Au moins, ça pourra décourager la plupart et à les faire fuir. Ainsi, ça permettra au GCPD de soigner leur blessure et de mieux sécuriser le poste de police. D’ailleurs, Troia avait demandé à l’un des sbires de l’inconnu d’aller voir son ou sa chef/fe pour qu’il/elle vienne la voir. Un drôle de message, mais ici, il n’y avait plus personne pour l’embêter. À voir si le leader va venir jusqu’à elle ou si Donna va devoir descendre jusqu’au rez-de-chaussée pour la chercher et lui botter les fesses. Il fallait calmer un peu le tout et elle termine le deuxième étage assez rapidement. Elle aurait bien pu tuer les agresseurs, mais ça serait bien trop facile et mal vu chez les autres héros. Après tout, tuer n’était pas une solution ni un droit en tant que justiciers. Il y avait des règles morales à respecter.

Il semblerait qu’il y ait un peu d’agitation en bas, elle avait entendu quelqu’un crier pour insulter quelqu’un. En tout cas, c’était la voix d’une femme donc peut-être celle qui dirige ce troupeau de clown. Cela dit, l’obscurité n’allait pas trop aider, même si les yeux de l’Amazone s’étaient habitués à si peu de vision. Sortant du bureau, elle pouvait voir une silhouette se rapprocher d’elle, avec un maillet en sa possession. Il était clair que ce n’était pas un policier qui venait dans sa direction. Une silhouette féminine, dommage que certaines femmes vont du mauvais côté de la justice. Soudain, la jeune femme lui demande qui elle était. Donna prend un air grave et une voix grave. « Je suis ton pire cauchemar ! » Dit-elle avant de faire un mouvement rapide vers la femme et l’attraper par le col. « Et toi, blondinette, qui es-tu ? Es-tu celle qui commande ses clowns ? » Demande-t-elle avant de la soulever de terre. Même si elle a plaisanté au début, Donna n’avait pas oublié le chaos que cette folle a provoqué avec ses hommes de main. Les policiers blessés ou morts, car elle a décidé de créer ce carnage pour une raison inconnue. « Je suis Troia, Princesse de Themiscyra, si tu ne veux pas goûter au pouvoir divin de mon lasso, je te somme de me dire pourquoi as-tu attaqué le commissariat ? Et de te montrer coopérative sinon je vais m’assurer que tu vas regretter amèrement tes actes, jeune femme. » Dit-elle d’un ton grave et la plaquant contre un mur. Il était hors de question de laisser ses actes passés sans rien ni une punition.