you ( don't ) own me ღ h&j

« hush little baby, don't say a word. momma's gonna kill for you the whole damn world. and if they don’t laugh at our jokes, momma’s gonna stab out their goddamn throats. and if they start to run away, momma’s gonna paint the streets with blood. and once the blood starts to wash off, momma’s gonna blow some more heads off. and if the world still doesn’t laugh, momma’s gonna go and poison 'em. and once the poison does its job, momma’s gonna show you your legacy. and if the world still tries to fight, momma’s gonna burn their houses down. and if you grow up with his smile, momma’s gonna be so proud of you. »

la solitude, douce solitude. harley, elle ne la supporte pas. son cœur, il a besoin de se rattacher à quelque chose. un but, une personne. cette personne, durant des années, avait été son cher et tendre poussin. cher et tendre qui n'a eu de cesse de la malmener à tort et à travers. et qui l'a balancée aux ordures, tel un vulgaire déchet. harley, elle l'a toujours de travers. le cœur brisé. confusion, entremêlée à l'incompréhension. à dire vrai, elle a espéré, quelque part, qu'il revienne de lui-même. qu'il s'excuse. qu'elle ait un signe de vie de sa part. mais harley, elle est comme ça ; rêves pleins la tête, naïveté accomplie. malgré les années à fréquenter le joker, elle garde la fâcheuse tendance à croire en des choses qui ne se feront jamais. et, à ce jour, elle est tellement mauvaise, rongée de l'intérieur par les ténèbres, que les birds of prey qui auraient pu remplacer le vide qui s'est formé dans son cœur ces derniers mois, ont été éphémères. retirée, bien trop honteuse de sa nature ; son corps, il vagabonde dans gotham, mais l'indépendance est bien trop lourde à supporter pour quelqu'un d'aussi dépendant. elle n'est pas plus fière, aujourd'hui ; mais elle a ce besoin de l'avoir à ses côtés. malgré son mauvais caractère, et malgré la manière qu'il avait de l'utiliser. elle préfère se leurrer. et c'est probablement pour cette raison qu'à ce jour, bouteille entre les doigts, elle est devant cette porte. sa porte. à lui ; autrefois, à eux. elle est là, regard dénué de toute émotion, tandis que ses yeux se brouillent à cause d'un alcool trop vite avalé. le temps défile, et elle ne sait même pas depuis combien de temps elle est là. elle doit sonner ; et peut-être l'a-t-elle fait ? elle ne s'en souvient même pas, mais la supposition est facile : personne n'est encore venu ouvrir, ou alors il n'est pas là. finalement, ça la travaille. d'un geste lent et las, elle lève un bras mou et presse son index contre la sonnette ; jolie sonnette aux allures de cirque. @the joker

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La pièce est bruyante. Un pan de mur est parsemé de divers télé, tout allumées sur une chaîne différente ou branché à une lecteur de dvd. Cartoons, chaînes d'info et Snuff Movie se partages les écrans et les sonorités qui inondent la pièce.

Au milieu de celle-ci, assit en tailleur, torse-nu, un casque sur les oreilles, un homme pâle écoutait une playlist en se balançant lentement de gauche à droite. Lorgnant les images qui parcouraient le mur face à lui, l'homme, qui n'était nul autre que le Joker en personne, ne s'arrêtait sur celle-ci, que quelques secondes, puis passait à une autre.

Passant de vieux dessins animés basées sur l'humour burlesque, à des films mettant en scène de véritables tortures physiques d'hommes et de femmes d'âge divers, les chaînes d'info eux, n'avait qu'un seul titre qui tournait en boucle : Batman a tué ?!

Un regard sombre, les dents grinçantes à le vue de cette histoire tournant en boucle, le Joker ne semblait pas d'humeur, et même pas ce petit rituel télévisé ne semblait en venir à ces pulsions.

Cela dura un instant ou des heures, lui-même ne le savait déjà plus, pourtant il vint à ressentir sur le sol des légères vibrations et du coin de l’œil, il ne tarda pas à appercevoir un homme, s'accroupir lentement, non lui de lui.



Avec prudence, celui-ci lui fit signe, cherchant à rentrer en contact avec lui. Retirant lentement son casque et tournant le regard vers celui qui n'était nul autre que son lieutenant, le Joker se saisit d'une télécommande et éteigne d'une simple touche, tous les écrans.

Le silence prit alors place. "Patron ! Elle est à la porte..." Le regard vide, l'homme pâle hésita à demander "Qui ?", mais compris rapidement par le faciès de son plus proche collaborateur qu'il n'y avait qu'une personne pouvant répondre à cette question. "Elle ne manque pas de culot..."

Ce levant et s'approchant d'un lit qui n'était nul autre que le sien, il y attrapa un peignoir et suivit son lieutenant. Prenant place dans un grand fauteuil, faisant face à la porte d'entrer quelques mètres plus loin, un revolver à porté de main sur une table basse, nombreux étaient les larbins siégeant sur d'autres assises non loin de lui.

D'un signe de la main, il ordonna à l'un des siens d'ouvrir la porte. "Harley, mon cœur... C'est quoi ça ? Tu as une tronche à faire peur, AhAhAhAh !!! Saisissez-là ! Et faites-là moi passer par la douche ! Un peu d'eau fraîche ne fait pas de mal, non ?"

@Harleen F. Quinzel

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Elle n'était pas fière, Harley. Pas fière de retourner auprès d'un homme qui a toujours su la maltraiter physiquement, mais aussi psychologiquement. Elle en connaissait, certaines, qui lui auraient volontiers soufflé dans les bronches pour ce qu'elle était en train de faire. Mais c'était bien trop fort, plus fort qu'elle-même ; et l'alcool, il n'aidait pas. Il n'aidait pas à la maintenir loin de lui. Syndrome de Stockholm ; bien plus fort que n'importe quoi, soulevant un amour interdit auquel elle avait dédié de longues années de sa vie. Véritable âme en peine ; la sonnerie de la demeure résonnait d'un bruit sourd dans ses oreilles, à ne pas s'arrêter. Elle avait l'impression que son cerveau l'enregistrait depuis une éternité, avant qu'on ne daigne enfin ouvrir la porte devant laquelle elle s'était postée quelques minutes plus tôt, tel un cadavre. Son nez tomba face à celui d'un larbin, qu'elle ne reconnaissait pas vraiment. A dire vrai, elle ne prêtait nulle attention aux hommes qui suivaient le Joker comme de véritables toutous. Et, un peu plus loin, siégeait l'homme de ses rêves. « Harley, mon cœur... C'est quoi ça ? Tu as une tronche à faire peur, AhAhAhAh !!! Saisissez-là ! Et faites-là moi passer par la douche ! Un peu d'eau fraîche ne fait pas de mal, non ? » C'est son bras qu'on attrapa, le larbin s'exécutant à la tâche. Poussée et traînée, un tel irrespect envers sa propre personne vexait Harley mais, quelque part, ne faisait que l'enfoncer dans une culpabilité qui la rongeait. « Ça va, je peux me débrouiller abruti ! » rageait-t-elle à l'intention du malfrat. Il ne lui fallut que cinq minutes, et l'eau sur sa peau eut pour don de l'aider à reprendre quelques-uns de ses esprits – si seulement c'était réellement possible. En ressortant, elle fouillait dans les propres affaires qui demeuraient encore ici. Sa main vint attraper le tissu familier du premier costume qu'elle avait porté sous cette nouvelle identité qu'elle s'était créée en rencontrant le Joker et, ne trouvant rien d'autre de satisfaisant dans le tas, elle l'enfila. Elle se dirigea vers la salle de vie, passant les autres hommes qui entouraient le Joker, afin de revenir à l'encontre de celui-ci. Finalement, elle s'accroupit face à lui, remarquant d'un coin de l’œil le revolver qu'il gardait non loin de lui et demanda, presque timidement : « Vous êtes fâché ? » @the joker

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Elle affreuse à voir. Tenant à peine debout, elle chercha tout de même à s'affirmer, rentrant d'elle-même dans la salle de bain. Lui, sur son siège, qu'on jurerais tirer d'un palace, ce qui est sans doute le cas, prit ses aises et posa ses pieds sur la table base devant lui.

Entamant une petite conversation avec son plus proche lieutenant, mettant sur le tapis quelques informations sur l'évolution plutôt tranquille, des trafics en tout genre, gérés par d'autres groupuscules, plus petit et à leur botte, le prince du crime portait belle et bien son surnom. Ordonnant, ici et là, quelques louanges à transmettre, au même titre, que quelques têtes à faire sauter, pour leurs maigres travaux, semblant alors agréablement surprit de voir la blondinette passer la port, dans un accoutrement qui daté alors.

La laissant s'avancer vers lui, elle s'agenouilla alors et s'adressa timidement à son tortionnaire.

"Harley, mon cœur... Bien sûr que je suis fâché !"

Lança l'homme pâle en retirant ses jambes de la petite table et en se penchant vers la jeune femme. S'approchant d'elle de plus en plus, il lui saisit la tête à deux mains et approcha la sienne un peu plus prêt.

"Tu sais, mon cœur... Tu as mis du temps à revenir !! J'avais de bonne raison de te mettre à la porte !! Tu me casser les pieds !! J'ai eut pitié de toi !! Ahahaha !! Mais, je dois bien avouer que... Hummmm... C'est compliqué à avouer.... Mais les choses étaient différentes sans toi... C'était bien !! Je ne dirais pas le contraire, mais l'acide à pas tout rongé... Je me demande donc si, pour être bien !! Je ne devrais pas te faire disparaître, histoire d'avoir les idées plus claire !! "

Lâchant la jeune femme, le Joker reprit place dans le creux du fauteuil et approcha sa main de la table ou traînait son arme. Faisant virevolter sa main par-dessus, il regardais sa proie avec un air dépité. "La tête ? Ou le Cœur ?!"

@Harleen F. Quinzel

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Les années avec Monsieur J n'avaient pas été que mauvaises. Si son cerveau tentait de la protéger en mettant de côté la maltraitance dont elle a été victime, c'est aussi grâce à lui qu'elle est une femme changée à ce jour ; une femme différente. Deux vies complètement différentes, et des expériences qui divergeaient. Et si, grâce à lui, elle a su dire au revoir à ses anciennes peurs et franchir des limites qu'elle ne pensait jamais dépasser, son cauchemar, son nouveau cauchemar, c'était lui. Et c'était probablement pour cette même raison qu'Harley Quinn était aussi soumise au Joker ; elle était un pantin, son pantin, qu'il manipulait et qu'il guidait comme il le souhaitait. Et ça, inconsciemment, c'était ce qui l'effrayait. Elle avait peur de lui. Et elle ne s'en rendait même pas compte. Et son cœur, il se serra à l'entente de ses mots ; la crainte, elle, gagnait ses tripes. « Harley, mon cœur... Bien sûr que je suis fâché ! » Tête de chien battu, de celui qui venait de faire une grosse bêtise, et qui s'apprêtait à se faire gronder. « Tu sais, mon cœur... Tu as mis du temps à revenir !! J'avais de bonne raison de te mettre à la porte !! Tu me casser les pieds !! J'ai eut pitié de toi !! Ahahaha !! Mais, je dois bien avouer que... Hummmm... C'est compliqué à avouer.... Mais les choses étaient différentes sans toi... C'était bien !! Je ne dirais pas le contraire, mais l'acide à pas tout rongé... Je me demande donc si, pour être bien !! Je ne devrais pas te faire disparaître, histoire d'avoir les idées plus claire !! » C'est d'abord une surprise qui gagnait Harley, tandis qu'il reprit place dans son fauteuil, approchant sa main de l'arme qui se tenait à ses côtés. Quelques sanglots, comme elle savait si bien le faire lorsque ses nerfs la lâchaient. « La tête ? Ou le Cœur ?! » Derrière elle, elle entendit les acclamations des hommes de main d'un clown qui était prêt à se débarrasser de l'un de ses nombreux larbins ; d'un bras droit qui n'avait eu de cesse de l'agacer. « Non, poussin ! Pardonnez-moi, je vous en prie ! Je ferais tout ce que vous voudrez ! » gémit-elle, les yeux larmoyants. « Je suis vraiment désolée ! Promis, je serais sage ! » @the joker

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Elle demande pardon. Supplie pour sa vie, comme si elle savait déjà ce qu'allait faire le maître des lieux. Il la fixe, d'un regard qui lui est propre. Déroutant, angoissant, sa langue passe sur ses lèvres, histoire de les humidifier. La main toujours lancinante au-dessus d'un calibre potentiellement mortel, il lève les yeux au ciel et pose l'arrière de sa tête sur le dossier du fauteuil. Fixant le plafond, il réfléchit alors, marmonnant dans son coin. "Sage ? Hum.... Sage ? Est-ce que j'ai vraiment envie de ça ?!"

En une fraction de seconde, il saisit alors l'arme et la pointe vers la jeune femme. "Le problème Harley ! C'est que je n'ai pas envie que tu sois sage !" Se levant de son fauteuil, il s'approcha de la blondinette et apposa le canon de son calibre sur le front de cette dernière.

Le regard baissé à l'encontre de sa victime, l'homme pâle la fixait avec l'aspect d'un prédateur. Le cœur battant la chamade, le souffle rapide, les dents toute en-avant, il commença à lui tourner autour.

Arrivé derrière elle, il s’accroupit à son niveau et passa sa tête par-dessus l'épaule de la jeune femme. Tendant le bras armé en direction d'une lampe, il fit feu et fit voler l'ampoule de celle-ci en éclat. "Mon Cœur, il est l'heure ?!"

Repassant devant elle un en éclair, il apposa une nouvelle fois le canon alors encore chaud sur le front de sa cible, puis posa un doigt sur la cachette. Fixant la jeune femme, il laissa celle-ci dans l'angoisse pendant quelques secondes, puis appuya.

Clic, un simple clic, la chambre de l'arme était vide. Vint alors un rire tonitruant émanant du clown, s'époumonant alors et se tordant, en tombant même dans son fauteuil. Il fixa la jeune femme avec des larmes de rire.

@Harleen F. Quinzel

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Elle a peur pour sa vie, Harley. Ce sont dans des moments pareils qu'elle se rend compte qu'elle y tient encore. Ses oreilles, elles écoutent ce qu'il lui dit ; attentivement. Son cerveau enregistre la situation, les traits de son visage et les mots qui sortent de sa bouche. Lorsque la froideur de l'arme touche son front, des frissons parcourent son échine ; persuadée que son heure a sonné, qu'il aura enfin eu raison d'elle. Les larmes perlent encore aux coins de ses yeux, et elle ferme même les yeux. Elle n'ose plus rien dire, de toute façon ; et qu'est-ce qu'elle pourrait dire, pour lui faire changer d'avis, sachant que rien de ce qu'elle pourrait prononcer n'aura le moindre impact ? Elle entend le clic, celui qui aurait dû annoncer la fin de sa propre existence, et pourtant ses yeux, qu'elle avait close pour accepter ce qui allait, potentiellement, se produire, se rouvrent bel et bien sous l'éclat de rire d'un clown qui lui avait joué un mauvais tour. Plongée dans une incompréhension, elle reconnaissait bien là l'homme – le monstre – pour lequel son cœur avait succombé. Et cette pensée, cette simple pensée, vint briser l'air dépité de son visage pour laisser apparaître un grand sourire. Ses deux jambes la soulèvent, et elle croise les bras contre sa poitrine. « Vous m'avez bien eue, encore ! » Elle s'approche de lui, et baisse les yeux vers l'arme qu'il tenait encore. « Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour me faire pardonner, poussin ? » @the joker

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La jeune femme arrêtant ses sanglots, celle-ci se releva alors et le joker s'arrêta net. L'euphorie laissant, ainsi place au calme, l'homme pâle fixa la jeune femme qui semblait être rassuré que tout cela n'était qu'une bonne blague. Demandant alors ce qu'elle pouvait faire pour espérait être pardonné, l'homme au sourire écarlate la balaya d'un regard.

"Et bien, mon cœur... "

Entama-t-il avant de jeter son arme en l'air. Volant dans la pièce, celle-ci s'écrasa sur le sol et une détonation se fit entendre. Une balle traversa la pièce et finit sa course dans la jambe d'un larbin. Sursautant, feintant la surprise, l'homme poursuivit.

"Oups... C'est vrai ! J'avais retiré qu'une balle du barillet... "

Lança-t-il en souriant à sa comparse, insinuant à celle-ci subtilement, que sa vie n'avait tenue qu'à un banal ''coup de chance''. Dans la pièce l'homme géminait alors de douleur, il fut alors rapidement sortit par d'autres qui l’assumèrent brusquement au passage.

"Donc, j'allais dire... "

Faisant signe à la jeune blondinette, de s'asseoir sur ses genoux, il poursuivit alors.

"Pardonner ??? Oh, on descendra en ville le moment venu, histoire de s’amuser un peu... Mais dans l’immédiat ! Mon cœur ! Aurais-tu à tout hasard, quelconques informations sur l'énergumène qui tourmente le Batou à ma place, ces temps-ci ? "

@Harleen F. Quinzel

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« Et bien, mon cœur... » il commença, jetant l'arme à feu dans les airs. La détonation qui suivit entraîna Harley à sursauter à son tour. Au larbin qui cria alors que la balle vint de se loger dans son corps, elle haussa un sourcil. « Oups... C'est vrai ! J'avais retiré qu'une balle du barillet... » Le sourire révélateur du Joker n'avait rien de plus rassurant pour Harley, comprenant alors les derniers mots qu'il avait prononcés insinuaient. Elle déglutit, difficilement, mais elle souffla en pensant que, cette fois-ci, la balle n'avait pas été pour elle, mais pour l'autre abruti à l'autre bout de la pièce qu'on évacua. « Donc, j'allais dire... » Ses yeux, elle les dévièrent de la silhouette du larbin et se reposèrent sur le clown qui lui faisait face. Puisqu'il lui faisait signe, Harley s'assit sur les genoux du Joker, et émit un petit sourire en passant ses bras autour de son cou. « Pardonner ??? Oh, on descendra en ville le moment venu, histoire de s’amuser un peu... Mais dans l’immédiat ! Mon cœur ! Aurais-tu à tout hasard, quelconques informations sur l'énergumène qui tourmente le Batou à ma place, ces temps-ci ? » Elle porta un doigt à sa lèvre inférieure, leva les yeux au ciel, réfléchissant. « Mmh... Pas vraiment. Oh, si ! J'ai entendu les hommes du Pingouin se questionner concernant Sionis, et même mentionner Nygma ! On peut déjà rayer Cobble-motte de la liste ! » Elle réalisa presque immédiatement que l'information était faible. « Qui, de ceux que l'on connaît, aurait l'audace d'un tel acte, de toute façon ? Personne n'ose réellement s'opposer à vous depuis des années. Il faudrait être vraiment fou pour vouloir vous mettre en colère, poussin. » Tandis qu'une idée lui traversa la tête aussi rapidement qu'une balle aurait pu le faire, l'arlequin s'extirpa des genoux du prince du crime pour se redresser sur ses deux jambes, un grand sourire aux lèvres. « On pourrait aller enquêter ! Éclater quelques crânes par-ci, par-là ! Quelqu'un doit bien savoir quelque chose. C'est Gotham. » @the joker

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Écoutant avec intérêt, les potentielles infos qu'avait à sa disposition sa "précieuse" blondinette, le joker n'y voyait là, pas grand chose de concret. Mettant sur le tapis, quelques noms d'illustres, collègues/collaborateur/emmerdeur et autres potentiels victimes de ses envies, l'homme pâle fit mine de réfléchir, mais il était clair pour lui, qu'aucun de ses gus, avaient eux les
"cojones", de mettre à exécution un tel plan.

"Qui t'as dit que j'étais en colère ?... Ahahahaha.... Enfin, bon ! Peut-être un peu, mais garde ça pour toi veux-tu ? "

La jeune femme quittant ses genoux, sous son regard prédateur, celle-ci proposa alors de jouer les détectives. Sautant de son fauteuil, il s'approcha de sa dulcinée et l'attrapa tendrement par les joues. Apposant ses mains délicatement sur l'épiderme de la jeune femme, il plongea son regard dans le sien et lui lança :

"Que c'est une idée sympathique, mon cœur ! Trouvons-nous des tenues adéquates et partons en patrouille ! "

Relâchant la jeune femme, le joker se tourna vers ses hommes, puis leur ordonna de faire chauffer les fourgons.

@Harleen F. Quinzel

P.S.: Je sais pas si tu veux continuer là ou plancher sur autre chose, comme tu le sent. Je vais chercher à m'incruster au sujet commun, donc j'ai pas encore tout lu.