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 why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)

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Barbara E. Gordon
foncièrement bon
Barbara E. Gordon
› crédits : bambi eyes.

› célébrité : holland roden.

› puff : millennium falcon.

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› nom de code : little bat of gotham, with her yellow and black suits, spreading her wings all over the city and fighting crimes; batgirl,

› âge du personnage : so young yet so old, twenty seven years, embracing the thirties coming faster and faster day after day.

› situation professionelle : law student, trying to learn how to fight the crime upfront. she's also working part time at the gotham's library.

› ville d'origine : gotham.

MessageSujet: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyVen 14 Aoû - 15:59

why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?
dick & babs

« dead, thinking about you, you're in my head. even without you, i still feel dead. why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?  »
tes yeux rives sur la silhouette devant toi, tu écoutes. il semble perdu. il sait pas trop c’qui se passe et il est totalement sonné. tu sais pas quoi dire, ni quoi penser. juste, tu écoutes. ces mots te transpercent le coeur tandis qu’il parle d’elle. au courant de rien, juste préoccupé par son boulot et le fait qu’aujourd’hui il doit vivre sans la femme qu’il aime, assassiné par l’amant de celle-ci dû à une jalousie maladive. ca te touche. tu sais ni pourquoi, ni comment. juste, alors que ton regard est posé sur lui, tu sens une petite larme qui coule le long de ta joue que tu chasses d’un revers de main.

t’es tellement prise que tu fait pas attention à l’heure. ainsi, il est déjà vingt et une heures quand tu sors de la cour de justice. tu rejoins ta voiture, dans laquelle tu montes et tu commences à rouler dans les rues de gotham pour rejoindre ton appartement, non sans garder dans un coin de ta tête ce témoignage qui t’avais prise aux tripes. pourtant tu tente de t’changer les idées. tu chantes sur la musique, tu réfléchi au film que tu regarderas ce soir mais dès que ton esprit ne pense pas pendant cinq secondes, tout de suite la réalité te frappe. et si toi aussi, tu te retrouvais dans cette situation ? et si un jour, c’était toi, qui devait témoigner devant toute une audience pour recueillir le témoignage permettant de faire avancer un procès? que tout ce qu’il te resterait serait des souvenirs et surtout, tes larmes pour pleurer. ca t’effleures l’esprit. tu imagines, soudainement une vie sans dick. une vie ou il est plus là, ou suite à une patrouille on t’annonce la nouvelle.
et tu vrilles tandis que tu pleures silencieusement. tu peux pas le perdre, tu supporterais pas.
alors tu tournes, soudainement, faisant alors faire à ton volant un tour à quatre vingt dix degrés dans le but de faire demi tours, prenant alors le sens opposé de là route. tu vas lui parler. tu dois lui parler. tu réalises barbara, réalise ce que t’aurais dû réaliser pendant longtemps. t’as besoin de lui, plus que tu veut l’admettre et tu refuses de laisser tes peurs se mettrent en mesure de ton ressenti. tu veut le prevenir, que tu l’attendras devant chez lui, mais ton téléphone est dans ton sac au pieds du siège passager. alors tant pis, tu optes pour l’effet de surprise.
t’as un immense sourire qui naît sur tes lèvres tandis que tu réalises c’que t’es sur le point de faire. de lui dire. de lui dire qu’tu l’aimes, lui, lui et lui seul. que c’est comme ca depuis bien trop longtemps, que la seule raison qui fait que tu refoules est ce besoin impératif de ne pas ressouffrir. tu veux pas avoir mal, comme t’as eu mal. non, tu veux juste être heureuse mais tu réalises que sans lui, c’est impossible.

la route pour rejoindre bludhaven est un peu plus longues que pour rejoindre ton appartement mais ça t’importe peu. de toute manière, tu dormiras pas chez toi ce soir, comme à chaque fois. tu roules, dans la nuit de gotham, tu roules, loin de tout tes tracas et t’arrives sur place, devant cet immeuble que tu connais encore par coeur. tu trouves une place, alors tu te gares et tu sors. t’avances, t’es venue les mains vides, c’est ridicule mais tu voulais pas t’attarder. tu avances, d’un pas presque trop rapide, trottinant sur tes quelques centimètres de talons. et tu pénètres dans l’immeuble, tapant ces codes que tu connais par coeur. tu entres dans cet ascenseur, qui monte. monte qui te parait durer des heures. lorsqu’enfin, il se stoppe au bon étage tu souffles un bon coup et tu t’aventures dans les couloirs, te précipitant presque comme une ombre. t’es impatiente, excitée, terrifiée. tu te stoppes devant cette porte que tu observes pendant quelques secondes, essuyant les derniers vestiges dès quelques larmes que t’as versée au tribunal, touché par le témoignage et tu prends une grande inspiration. tu sonnes, t’attends. t'espère, t'espère qu’il est là pendant que t’as cette soudaine force et pourtant à peine la porte s’ouvre que t’ouvres la bouche pour parler mais rien ne sort. tu comprends pas. tes paroles, que tu avais pourtant répété restent dans ta gorge, pire, tu les as presque oublier. le je t’aime, les mots doux, le manque qu’il éveille en toi. tout ca tu voulait l’dire, mais tout ca, t’y arrive soudainement pas. tu clignes plusieurs fois des yeux, déstabilisée. tu t’attendais pas à rester sans voix. pourtant tu tentes de reprendre tes esprits, rapidement. - hey. que tu dis, souriant légèrement. tu t’avances, t’invitant sans de réels scrupules, tu connaissais cet appartement presque mieux que le tiens. tu t’avances jusqu’à lui, et tu tentes, de parler, mais t’y arrives pas. alors à la place, tandis que t’arrives à son niveau tu combles l’espace entre vous et tu viens déposer tes lèvres contre les siennes. un contact qui t’electrises, te rend presque dingue. tu imagines déjà ses mains glissant sur ton corps, ta peau qu’il recouvrirait de baiser. t’enroules tes bras autour de son cou tout en restant contre lui, gardant ce contact pendant de longues secondes qui te semblent trop courte et tu finis par séparer ton visage du siens tout en gardant tes bras autour de son cou.  - je suis désolé d’arriver si tard. le procès à dure une éternité et j’avais cruellement envie de te voir. alors me voilà. tu lui offres ton plus beau sourire, celui qui creuse tes fossettes, celui qui reste le plus sincère. ton p’tit coeur qui bat a en sortir de ta poitrine, ces papillons qui te retournent l’estomac. tu sais pas c’qu’il te fait par sa simple présence mais bordel, il te rend totalement folle grayson.
(c) DΛNDELION
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Dick Grayson
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Dick Grayson
› crédits : Séléné

› célébrité : Michel Biel

› puff : Mystère

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› nom de code : Nightwing

› âge du personnage : 29

› situation professionelle : Inspecteur de police

› ville d'origine : Gotham

MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyVen 14 Aoû - 17:37

why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?
Feat Barbara Gordon




Je ferme la porte et m'adosse contre elle. Pas exactement ce qui était censé se passer. Je me passe de l'eau fraiche sur le visage pendant un instant et je regarde ma tronche dans le miroir. Heureusement que je camoufle mes cernes. Je me désappe et enfile un t-shirt et un jogging. Je suis plus à l'aise comme ça.
Je retourne dans ma pièce à vivre et contemple les restes de pizza et les quelques bouteilles de bière vide sur la table. Je pousse un soupir et vais déposer tout ça sur le comptoir de la cuisine. Je crois que je lui ai envoyé de mauvais signaux. Une nouvelle collègue. Elle devait pas me connaître et savoir que je suis charmeur avec tout le monde. Et quand je l'ai invitée ici pour boucler le dossier après être partis du commissariat, elle a dû croire autre chose. Quel con. J'étais trop claquée pour voir qu'elle me regardait autrement qu'en collègue.
J'essuie machinalement ma bouche. Elle embrasse très bien, et dans une autre situation, je me serais peut-être laissé allé. Mais je sais depuis le temps que sortir avec une collègue est une très mauvaise idée, encore plus si elle est flic. Et puis, y'a Babs...

Je me repose devant mon ordi ouvert, consultant rapidement les dossiers à ma gauche pour m'assurer que tout est bon. On a tout de même fini. Je fronce les sourcils en entendant ma sonnette. Elle a oublié quelque chose ? Je regarde autour de moi en soupirant. Non... J'espère qu'elle ne revient pas à la charge. Je me lève et m'approche de la porte pour la rouvrir. Surprise, c'est Barbara. Je semble surpris un instant. Elle ne m'a pas envoyé de message pour me dire qu'elle viendrait. Heureusement qu'elle n'est pas arrivée dix minutes plus tôt...
Elle a l'air étrange. J'espère qu'elle n'a pas croisé Lola. Je la laisse entrer et ferme la porte derrière elle en souriant légèrement. « Hey. » Je lui rends son baiser doucement, glissant un bras autour de sa hanche. J'aurais préféré finir de travailler et aller dormir, vu mon étant. Mais pour elle, je pourrais rester éveillé jusqu'au bout de la nuit. Mon cœur se serre légèrement.

Ces derniers temps, à cause du travail et de ma fatigue, je crois que je suis un peu plus distant avec elle. Je suis heureux qu'elle ne m'en tienne pas rigueur. « Tu aurais dû me dire que tu arrivais, j'aurais rangé un peu et fichu dehors ma collègue plus tôt. » Je lui offre un petit sourire amusé. « J'espère que le procès ne comportait pas une personne que j'ai mis en taule ! ... Non, sinon je serais au courant. » Je secoue légèrement la tête et me détache d'elle. Évidemment, j'aurais même été appelé dans le procès.
« Tu n'as pas mangé, du coup... Tu veux que je te commande un truc ? » Je ramasse mes vêtements que j'avais par habitude laissé trainer au sol et vais les mettre dans la salle de bain, puis reviens dans le séjour pour admirer Babs.

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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyVen 14 Aoû - 19:08

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« dead, thinking about you, you're in my head. even without you, i still feel dead. why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?  »
tu entres un peu plus dans l’appartement sans forcément porter attention autour de toi. tu aperçois pourtant quelques fringues balancées par-ci par-là et honnêtement, est-ce que tu peux critiquer ? t’enchaines un mode de vie tellement rythme que toi même ton appartement n’était pas toujours extremement range. principalement car entre tes feuilles qui volaient et tes livres qui se répandent un peu partout, c’était toujours un peu complexe d’entretenir parfaitement l’endroit. tu poses ton sac sur le comptoir de la cuisine, retire ton manteau que tu poses à côté et t’en profite pour t’asseoir sur une chaise, observant le brun. encore une fois, tu sais pas trop quoi dire, te décourageant littéralement. t’y avais eu envie de lui balancer ton amour à la gueule et là tu t’retrouvais comme une idiote, l’observant. il avait l’air fatigué, et pourtant, il était toujours aussi séduisant. en même temps il t’a toujours fait craquer, t’as toujours été folle de lui en tout cas, depuis l’instant où t’as appris à le connaître. tu le connaissais de nom dick à une époque principalement car vous frequentiez le même établissement scolaire  mais vous n'étiez pas pour autant proche. quelques cours ensemble, et basta. puis t’es devenue batgirl, et t’as appris à voir le gars riche du lycée sous un autre jour et t’es, peu à peu, tomber amoureuse de lui. - oh, une collègue à toi était là ? tu demandes alors en l’observant tandis que tu réalises que l’odeur n’est pas là même que d’habitude. une odeur boisée, en plus regne et se fait sentir à certains endroits, ce qui aurait tendance à éveiller ta curiosité. merde. pourtant tu dis rien, tu restes calme, presque imperturbable. - et t’en fait pas pour le rangement, franchement, c’est bien la dernière chose à laquelle je fais attention. tu souris, comme pour éviter de montrer ce léger agacement quant à l’idée qu’une autre nana était ici, chez lui. tu sais qu’il te doit rien, vous etes pas en couple. et pourtant vous agissez presque comme tel. c’est pas bon. c’est à cause de ce genre de connerie que tu restes attachée et que tu arrives pas décrocher. c’est peut-être la raison qui te fait un peu tilter, qui fait que t’as pas envie de montrer que tu te laisses prendre au jeu, que t’es encore mordu. alors tu redresses le regard vers le brun, petit sourire aux lèvres. - tu sais très bien que je t’aurais mis la misère si c’était un des clients de ma prof ? tu ris légèrement, retirant alors tes escarpins et te redressant enfin sur tes pieds. - tu n’aurais même pas été en mesure de le questionner sans que je débarque dans la salle en t’interdisant formellement de lui parler.  clairement, les flics et les avocats ne faisaient pas bon ménages. parce que vous etiez réputé pour mettre en péril les investigations policière en empêchant vos clients de parler et dire des choses qui pourraient se retourner contre lui lors d’un procès, surtout si les flics témoignent eux mêmes au sein d’un tribunal.

tu te penches alors sur le comptoir, en face de lui, gardant ce petit air rieur au visage. - j’attend le jour ou on se croisera dans un tribunal. ca risque d'être tres drole. non, ca serait tout sauf drôle, à vrai dire, c’était jamais drole mais dans l'immédiat tu dedramatisais la situation en te disant que ca serait pas si mal. du moins, si ta prof était encore celle en charge, si c’était toi, qui devenait celle défendant son client ca serait d’autant plus difficile car le conflit d’intérêt serait bien trop gros. probablement que si à l’avenir, grayson venait à devoir intervenir ou enquêter, à être mêlé d’une quelconque manière, tu devrais refuser le client simplement car tu savais qu’il était défendu pour toi de pouvoir interférer et rester neutre était la priorité.
tu hausses un sourcil quand il évoque là nourriture. c’est vrai que t’avais rien manger mais le fait que tu n’y penses pas prouve probablement le fait qu’au final, t’as pas trop faim. pas du tout même. tu glisses un doigt sur ta lèvres, acte curieux tandis que tu réfléchis et finit par hausser les épaules. - non ca ira. tu dis simplement réalisant, encore que les choses étaient dans une pente sensible. vous n'étiez pas en couple et pourtant vous agissiez comme tel. prise d’une peur qui te ravage l’estomac, la peur de le perdre tu agis de la même manière que lui agirait dans ce genre de situation. du moins elle supposait. elle se redresse et contourne le comptoir pour arriver non loin de lui, lui souriant alors légèrement. - mais je serais pas contre un dessert. tu plonges ton regard émeraude dans le sien tandis que tu hausses les sourcils pour souligner le sous-entendu. - t’en dis quoi ? tu déclares avec ce petit air coquin aux lèvres tandis que d’une de tes mains t’attrape la sienne. - on va dans la salle de bain et on s’amuse un peu ? une barbara avenante, une barbara qui ne faisait jamais ce genre de chose et pourtant, avec lui, c’était le cas, peut-être car elle avait beau le vouloir, elle arrivait pas à se détacher de lui. même avec toute la volonté du monde, elle l’avait dans la peau, ce type.

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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyVen 14 Aoû - 21:16

Attention langage explicite de fesses.

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Je crois que je pourrais rester des heures à l'enlacer et à simplement la regarder. Mais je ne lui ai jamais dit. Je n'ai pas l'impression que j'en ai besoin. On continue de se voir comme si de rien n'était, comme si je n'étais pas partie pour vivre ici il y a des années. Quand on s'est retrouvés, j'ai comme récupéré une partie de moi. Mais je n'avais pas envie de mettre le mot qu'il fallait dessus. Et puis, la situation actuellement n'était pas si mal.
Je hoche doucement la tête lorsqu'elle pose une question sur Lola. « On bouclait un gros dossier. Un criminel sous les verrous, du moins pour quelques temps... » Je sais qu'elle a tendance à poser des questions discrètes quant à mes relations avec le sexe opposé, mais ça ne me gêne pas. Je crois qu'elle est un peu jalouse, même si elle essaie de ne pas le montrer. Peut-être qu'on devrait vraiment se remettre ensemble. Mais c'est vrai que parfois je profite un peu de ma liberté sans qu'elle le sache... Généralement parce que je suis ivre. Mais il n'y a qu'elle qui me revient en tête, encore et toujours. Et qui revient toujours.

Je reprends une part de ma pizza pendant qu'elle se targue de pouvoir me battre au tribunal. C'est probablement vrai, je ne suis pas vraiment fait pour ça en même temps. Je n'ai rien dit quand elle a poursuivi ses études dans cette branche, parce que je n'ai pas à donner mon avis. Même si ça me gênerait de l'avoir face à moi, si ça lui plait, c'est le principal. J'esquisse un sourire quand elle dit que ce serait drôle que l'on soit l'un contre l'autre. Je ne suis pas vraiment d'accord, je laisserais probablement un collègue parler de l'affaire.
Je range un peu mes affaires et revient vers elle, fermant mon ordinateur portable au passage. Je ne travaillerais plus ce soir. Je la laisse se dandiner dans sa cyprine un instant devant moi, esquissant un sourire face à ses phrases pour le moins explicites. Je glisse doucement une main autour d'elle et soupire faiblement en souriant. « Je suis désolé Babs... Je suis trop claqué pour ça. » J'aurais préféré m'amuser avec elle, mais je sais que je ne serais pas très efficace. Je pose mes lèvres un instant contre les siennes, lui donnant un court mais langoureux baiser. Puis je m'approche de son oreille pour murmurer. « Mais si tu es sage, tu auras le droit à un cunni... »
Je veux tout de même lui faire plaisir, puisqu'elle en a envie. Je lui donne une petite tape sur les fesses et m'écarte d'elle avec un sourire narquois et fait mine de me désintéresser d'elle pour continuer à ranger un peu la pièce, sifflotant presque.

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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyDim 16 Aoû - 16:34

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dick & babs

« dead, thinking about you, you're in my head. even without you, i still feel dead. why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?  »
- okay, cool. qu’tu te contentes de dire en tentant de ne pas aggraver ton cas. ou en tout cas en tentant de ne pas montrer que t’es touché par ce genre de choses. tu restes détachées, sachant plus trop ou te mettre même si cette odeur devient presque désagréable à tes yeux mais tu dis rien.
les choses avancent, et toi tu t’retrouves là, contre lui, attendant plus ou moins quelque chose en retour. une ouverture simpliste mais explicite, clairement une de vos routines habituelles. toi, contre lui, vos fringues qui rejoignent le sol, vos lèvres qui ne se séparent plus et vos corps ne faisant plus qu’un. tu pouvais rester dans ses bras éternellement, peut-être car ton petit coeur lui appartenait. sans doute que t’etais ridicule, que lui même devait intérieurement rire de cette manière que t’avais d’aller constamment vers lui. contre lui. c’était horrible, cette manière que t’avais de toujours avoir besoin de lui, de ce contact entre vous. de la chaleur de son corps contre le tiens, sa voix murmurant dans ton oreille, ses mains, caressant ta peau. alors forcément, t’es ravis quant à cette idée que tu faisais du reste de cette soirée, t’imaginant déjà les diverses choses que vous pourriez faire ensemble. et pourtant, tu t’prends un mur en place face, probablement le stop le plus frustrant de la planète. quoi que, c’est pas comme si vous vous étiez chauffe et que l’on te coupait dans ton élan, mais quand même, ton imagination était vive quand il s’agissait de dick. tu fait une petite moue, tu comprends pas trop d’ailleurs. y a encore dix jours, il était le premier à venir se glisser son tes draps et maintenant il te mettait des stops . il a l’air fatigué, un peu. beaucoup ? merde, t’avais l’air un peu ridicule. et pourtant tu peux pas t’empêcher de penser au fait qu’il peut y avoir potentiellement cette nouvelle collègue. non, tu chasses cette pensée de ton esprit, encore plus quand bien rapidement il évoque une action qui te ferait presque frétille sur place. regard de tigresse tu hausses un sourcil. - c’est plutôt motivant. tu avoues d’une petite voix un peu joueuse avant de l’observer simplement. tu te retournes finalement, avançant vers la salle de bain. - j’imagine que je vais encore passer la nuit ici, alors j’emprunte ta douche si tu permets ? que tu dis avant de t’enfoncer dans la salle de bain refermant la porte derrière toi. une vieille habitude, une routine que t’as pris l’habitude d’effectuer puisque tu passes pas mal de temps chez lui. putain, on dirait vraiment un couple en fait. tu te pinces les lèvres en y songeant. c’est pas plus mal, de pas mettre de nom sur la situation pour être honnête. c’est pas trop mal comme situation, vous vous voyez quand vous voulez, vous passez des soirées en tête à tête, parfois sans forcément retirer vos fringues, parfois en passant des nuits complètes à en faire des choses. pas d'étiquette, mais pas d'étiquette veut aussi dire pas d'exclusivité, et c’est probablement ce qui te dérange le plus dans cette situation.

tu chasses les pensées négatives de ton esprit et tu commences à retirer tes fringues, ouvrant un tiroir pour attraper une serviette. t'espères encore un peu qu’il te rejoindra, mais tu mises pas trop dessus et tu t'apprêtes à entrer dans la douche quand quelque chose retient ton attention. un tube de fond de teint. ou en tout cas ca y ressemble. tu fronces les sourcils et l’attrape, observant alors celui-ci. c’est définitivement pas une marque que t’utilises ni ta teinte, donc non, tu n’aurais pas pu l’oublier. tu fermes les yeux, prenant une grande inspiration et entre enfin dans la douche. tu laisses le jet d’eau tomber sur toi, detendant presque immediatement tes muscles. apres une journee comme celle-ci, putain ca fait du bien.


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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyDim 16 Aoû - 17:26

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Feat Barbara Gordon




Je sais que Babs aime bien passer des soirées comme ça, à me prévenir qu'elle passe sur un coup de tête, et qu'on passe la nuit ensemble, même pour juste regarder un film. J'aime bien ça aussi, on fait ça aussi chez elle parfois, même si je vais plus rarement à Gotham. C'est peut-être con qu'on se soit pas posés plus que ça alors qu'on a la trentaine. Et puis, c'est plus simple vu nos emplois du temps chargés. Il est loin le temps où on passait nos journées ensemble. Mais on a plus le temps, on est des vrais adultes.

Je souris légèrement, un peu amusé par son appel à passer la nuit nos corps l'un contre l'autre. Elle fait souvent ça quand elle a eu une journée fatigante. Mais elle a toujours de l'énergie pour ça. Moi, ce soir... Je fais un sourire désolé face à sa moue. Mais avec mon murmure, elle retrouve son air significatif. Évidemment que c'est motivant, elle sait combien je suis doué pour ça. Je frémis en la voyant s'éloigner vers la salle de bain et je hoche doucement la tête. « Prends ton temps, y'a du coton et du démaquillant dans l'armoire. Ta serviette préférée est dans le tiroir. » J'espérais qu'elle n'allait pas relever l'information, parce qu'après tout je ne mets pas de maquillage normalement. Mais pour mes cernes j'ai trouvé du fond de teint qui me convient, et je l'applique plutôt bien je trouve. On le voit presque pas sous mes yeux. Et du coup fallait bien que j'achète aussi de quoi l'enlever.

Je l'entends actionner la douche, et pendant un instant j'ai envie de la rejoindre. Mais je veux pas lui faire de faux espoir. Je retourne dans la cuisine pour mettre les cartons de pizza et les bouteilles vides à la poubelle. J'en profite aussi pour enlever mon ordinateur et mes dossiers de la table basse. Je sors une bouteille de vin blanc du frigo. Je l'avais mis là exprès pour quand Babs passe, c'est l'un de ses préférés à boire "comme ça". Je lui en sers un verre et le pose justement sur la petite table.
Je vais refaire rapidement le lit dans ma chambre, même s'il sera vite défait, et je range mes affaires qui trainent au sol. Et par ranger, j'entends les pousser sous le lit ou dans un coin. Elle a l'habitude. Je retourne finalement dans le séjour et reprends une bouteille de bière en attendant que ma pas-vraiment-ex-copine sorte de ma salle de bain.

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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyLun 17 Aoû - 19:00

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« dead, thinking about you, you're in my head. even without you, i still feel dead. why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?  »
malgré ton air pensif sous ton jet d'eau tu peux pas t'empêcher de sourire en l'entendant. toujours le genre à penser à toi ce cher grayson mais pourtant tu fronces les sourcils. d'abord du fond de teint, maintenant du démaquillant ? qu'est ce que ça pouvait, voulait dire ? tes doutes commençaient à faire se confirmer; peu à peu dans ta tête. mais dans ces cas là, pourquoi te faire une proposition aussi indécente que celle de te faire plaisir un peu plus tard ? perdu ? c'était un euphémisme. peut-être s'était-il juste engagé dans une relation un peu platonique comme la votre avec quelqu'un d'autre ? cette collègue ? bordel, non. non. non. tu tentais de se dire que c'était pas le cas et pourtant, tout laissait a présager que si, il s'agissait bien ici d'une pseudo relation naissante. une vraie relation peut-être ? est-ce qu'il était en train de te remplacer ? était-ce juste une histoire de sauterie ?
un soupire, tu coupes l'eau tentant de chasser tes pensées néfastes. tu glisses tes mains sur ta chevelure rousse, faisant ceux-ci partir en arrière tandis que tu sors de la cabine de douche, attrapant alors ta fameuse serviette. tu l'enroules autour de ta taille et tu t'empresses de sortir le coton et le démaquillant tentant d'ignorer le fond de teint et la bizarrerie de cette situation. tu essuies alors le maquillage sur ton visage, retirant ce trait d'eye liner; ce rouge à lèvre, ce correcteur et tout ces artifices, bien que plus légers que la plupart du commun des mortels de son visage. te voila, au naturel, les quelques cernes dû à tes nombreuses nuits de patrouilles apparaissant, les imperfections de ta peau. quelques traces rouges dû à des boutons éclatés ou des pores un peu trop ouverts. tu observes ton reflet, t'as l'air fatigué, non, t'as l'air épuisé en fait. t'as même l'air d'avoir perdu du poids en vue de tes clavicules qui ressortent un peu plus que la normale.
tu balaies la tête de gauche à droite et tu attrapes le tout pour finalement ouvrir la poubelle. si tu t'apprêtes à jeter dedans ces quelques cotons utilisés, tu restes silencieuse face au spectacle en face de toi. ces préservatifs utilisés répondent à tes questions. tu restes là, pendant quelques secondes tandis que les larmes montent aux yeux et tu balances le tout dans la poubelle pour finalement t'appuyer contre le mur. what the heck ? tu t'demandes, te retournes le cerveau; tu sens les larmes qui coulent sur tes joues et tu dis rien d'plus. tu fait rien d'plus. tu restes là, enfermée dans cette salle de bain pendant de longues minutes, retenant ces larmes qui démontrent de toute évidence que le gars qui fait battre ton coeur semble avoir tourné la page.
pourtant, tu abandonnes pas ta fierté pour autant. tu retiens tes futures larmes et tu t'empresses de t'habiller de nouveau. enfilant de nouveau tes sous-vêtements, puis tes vêtements tu prends une grande inspiration et t'empresses de sortir de la salle de bain pour garder un certain self control. tu jettes la serviette dans le panier de linge sale et tu traverses l'appartement jusqu'à cette paire de chaussure qui t'appartient, qui sont là, au sol. - j'avais totalement oubliée que j'avais un devoir super important à rendre dans deux jours. tu lâches, d'un air soudainement plus distant, plus froid. - le procès en court m'est monté à la tête. tu te contentes de dire, sans relever une seule fois le regard vers lui. tu enfiles tes escarpins, tandis que tu attrapes ensuite ton téléphone et ta veste. - je devrais rentrer et allez m'avancer dessus. honnêtement, ça compte pour cinquante pourcent de ma note, je peux pas me permettre de foirer ça. tu lâches avant de redresser le regard vers lui, esquissant un petit sourire gêner. sans attendre, tu avances jusqu'à la porte d'entrée et pose ta main sur cette poignée avant d'ouvrir la porte et de te stopper dans ton élan. un pincement de lèvre, tu fermes les yeux, prends une grande inspiration. - dick ? tu te contentes de dire avant de te retourner. t'arrives plus à garder tes larmes, tu l'observes, pendant quelques secondes; silencieusement. - j'suis contente pour toi. j'espère que ça finira mieux qu'entre toi et moi. tu lui souris. non t'es pas contente, oui t'es folle de jalousie, oui tu le veux que pour toi. mais que dire? tu glisses une main derrière ton oreille, simplement. - appelle moi si t'as besoin. tu sais que je suis là, si jamais.
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› crédits : Séléné

› célébrité : Michel Biel

› puff : Mystère

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› nom de code : Nightwing

› âge du personnage : 29

› situation professionelle : Inspecteur de police

› ville d'origine : Gotham

MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyLun 17 Aoû - 20:05

why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?
Feat Barbara Gordon




Je patiente en buvant un peu et j’entends la douche se couper. J’imagine la scène, je l’ai déjà vu plusieurs fois. Je vais finir par regretter de pas l’avoir suivi. Tant pis, j’aurais juste été un peu plus épuisé mais j’en suis plus à ça prêt. Je vais lui faire comprendre que j’ai changé d’avis quand elle va sortir. J’esquisse encore un sourire. C’est peut-être con, mais je suis tellement bien quand je l’ai dans mes bras. Je pouffe un peu de ma propre stupidité. Après toutes ces années… On devrait en être plus loin dans notre relation. Si je m’étais pas barré comme un débile, on serait peut-être même… La bière me monte un peu à la tête non ?
Je repose mes yeux sur la porte de la salle de bain, assis dans le canapé, l’air rêveur. Je l’ai entendu jeter probablement les cotons à la poubelle et puis elle ne bouge plus. Elle se regarde peut-être encore dans le miroir. Même sans maquillage, elle est vraiment jolie. C’est quand la dernière fois que je lui ai dit ?

Je l’entends enfin bouger et je me relève tout sourire en m’approchant de la porte. Cette dernière s’ouvre et je commence ma phrase. « Je t’ai prép... » Elle est habillée et fonce vers la porte. Qu’est-ce qu’il se passe ? Un devoir à rendre qu’elle a oublié… Je fronce légèrement les sourcils et la suis. Ça n’est pas vraiment le genre de Barbara. Elle a son planning de rendus de dossiers affichés sur un mur, ça m’étonnerait beaucoup qu’elle en oublie un. Mais je ne dis rien, elle doit être surchargée, et 50 pourcents de la note c’est sûr qu’il ne faut pas le manquer. Mais y’a un truc qui va pas. « Bon courage… Je suis sûr que tu vas gérer ça. » J’esquisse un sourire encourageant mais j’ai envie de la retenir.
Je m’approche d’elle pour l’embrasser mais elle semble subtilement m’esquiver pour ouvrir la porte. Et finalement elle lâche cette phrase qui ne fait aucun sens. « Attends, quoi ? » Je me précipite presque sur la porte pour la refermer et je m’appuie dessus. Qu’est-ce qu’elle raconte ? « Qu’est-ce qu’il y a Babs ? » Je m’approche d’elle et l’enlace d’un bras en effaçant du pouce les larmes qui commencent à couler sur ses joues. Pourquoi elle croit ça ? ça fait un bail que je vois personne d’autre. « Eh, eh. Pleure pas. » Je crois que je panique un peu. Je l’embrasse un instant. « Y’a personne d’autre que toi qui compte. » Quel con, avec cette phrase on dirait que je vois quelqu’un d’autre ! « Y’a personne d’autre que toi. » Je tente de l’embrasser à nouveau, essayant de rester calme.

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Barbara E. Gordon
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Barbara E. Gordon
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› célébrité : holland roden.

› puff : millennium falcon.

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› nom de code : little bat of gotham, with her yellow and black suits, spreading her wings all over the city and fighting crimes; batgirl,

› âge du personnage : so young yet so old, twenty seven years, embracing the thirties coming faster and faster day after day.

› situation professionelle : law student, trying to learn how to fight the crime upfront. she's also working part time at the gotham's library.

› ville d'origine : gotham.

MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyMar 18 Aoû - 1:09

why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?
dick & babs

« dead, thinking about you, you're in my head. even without you, i still feel dead. why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?  »
t'avais qu'une envie, t'enfoncer dans ton coin, pleurer un bon coup. probablement que tu t'arrêterais chez donkin donut's au retour, histoire de tenter de consoler ta tristesse. clairement, tu mentais, t'avais pas de devoir à rendre mais tu devais trouver un moyen de filer en douce sans que ça paraisse trop suspect même si suspect ça semblait déjà l'être. tu t'apprêtes à franchir la porte qui se referme directement par le brun qui pousse celle-ci. tu restes à fixer un point invisible pendant de longues secondes, mais évidemment, il te pose des questions. des questions auxquelles tu veux pas répondre, pourtant t'as pas le choix. tu te retournes, sans pour autant lever le regard vers lui et tu t'appuies contre cette porte, fixant un point invisible. tu l'écoutes, le laisse faire et pourtant t'arrive pas à le croire. - me fait pas ça dick. tu murmures simplement. probablement tu devrais te sentir soulagée et pourtant t'en es loin, de l'être. - joue pas à ce petit jeu là avec moi, t'as pas le droit. pas le droit de niquer mon coeur, pas le droit de foutre en l'air le peu d'estime qu'il me reste de moi même, le droit d'arracher ce palpitant encore vif dans ma poitrine. j'préfèrerais mourir que de vivre sans toi. tout ça, t'aimerais lui dire, mais rien ne sors. rien. juste le strict minimum.

il tente de t'embrasser, tu détournes le visage en fermant les yeux. comment il peut être aussi inconscient ? comment il peut aussi bien jouer la comédie ? tu redresses pas le regard vers lui tandis que t'as cette vision qui apparait, parfaite, intacte. - tu veux vraiment me faire croire une telle connerie alors que j'ai des preuves ? tu redresses enfin ton regard émeraude vers lui, les larmes coulant sur tes joues. tu veux pas l'confronter et pourtant, t'as pas le choix parce que de toute manière tu retomberais encore et toujours dans ses bras. - ta collègue et son parfum. du fond de teint et du démaquillant ? tu demandes en omettant volontairement le dernier détails. pourtant tu soutiens son regard. - la prochaine fois que tu veux baiser, assures toi de pas laisser tes préservatifs usagés à la vue de tous. ça t'éviteras de te confronter à mon code d'honneur : ne jamais coucher avec un mec en couple. j'ai déjà trop de merde dans ma vie pour pouvoir me préoccuper d'un drama causé parce que tu sais pas tenir ta queue dans ton pantalon. c'est sorti tout seul, tu sais pas quoi dire et tu continues de pleurer, sans savoir pourquoi. parce que ça fait mal en fait. un peu trop. tu baisses de nouveau le regard, fixant tes pieds simplement. - si tu veux qu'on arrête suffit d'le dire. c'est moins douloureux que m'exposer toute ces merdes sous le nez dick. et j'ai plus quinze ans, je suis capable de gérer ce genre de crise. et tu l'penses, même si c'est toujours aussi douloureux au moins si vous mettez un terme définitif à cette relation t'es certaine de t'en remettre, t'ignores juste le temps que tu mettras pour.
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MessageSujet: Re: why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs)   why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ? (dick&babs) EmptyMar 18 Aoû - 8:50

why do i run back to you like i don't mind if you fuck up my life ?
Feat Barbara Gordon




Y'a bien qu'elle qui peut me mettre faire véritablement sortir de mon calme et mon charme habituel. Et elle y arrive avec une facilité déconcertante, surtout quand elle s'imagine des trucs faux et me fait une crise. Mais je veux pas la perdre. J'essaie de l'embrasser, évidemment elle esquive encore. Le stress monte en moi. Je ne sais pas exactement pourquoi je stresse, je n'ai rien fait - pour une fois. La peur que ce soit la fin de ce qu'on partage ? Du sexe, mais pas que.
Je ricane nerveusement à ce qu'elle dit. C'est vrai que vu de son côté, tout peut paraître bizarre et faire penser à des trucs... Mais le fait qu'elle y pense vraiment me fait me sentir nul. Je sais bien que j'ai pas couché qu'avec elle, mais c'est pas pour autant que je suis en couple. Ce qui se rapprocherait le plus du couple, c'est nous deux. Et puis, si je couche avec quelqu'un d'autre, je le fais pas chez moi.

« Babs. » Je passe mes mains sur mon visage et prends l'une de ses mains.  « Je te jure que c'est pas ce que tu crois. Je ne sors pas avec ma collègue. Elle était là pour le dossier. » J'ai même repoussé ses avances... Je ricane encore nervesuement. J'aurais dû aller ailleurs pour trouver du vrai anti-cernes. « Le fond de teint c'est pour moi... Je m'en mets sous les yeux pour cacher mes cernes au boulot. J'avais pas trouvé d'anti-cernes... »
Et les préservatifs... Elle n'allait pas le croire parce que c'était stupide. Dans tous les cas, elle ne le croirait pas si elle voulait terminer leur relation. « Les capotes étaient périmées, je les ai juste ouvertes pour voir si ça se voyait qu'elles étaient périmées. » La vérité c'est que j'avais tenté de faire des bombes à eau avec. Je tente d'embrasser Babs à nouveau en l'attirant contre moi.

« S'il te plaît Babs, je suis en couple avec personne. » Pas même avec toi... « Crois-moi. S'il te plaît. » Je veux pas te perdre pour quelque chose que j'ai pas fait. On est même pas en couple, mais peut-être qu'il faudrait enfin refranchir le pas. Elle agit vraiment comme si je l'avais trompée... Je sais pas trop quoi faire si elle refuse de m'écouter. J'ai peur, tous mes muscles sont tendus.
Je la prends une nouvelle fois dans mes bras et essaie de l'embrasser avec passion. Généralement, on règle nos problèmes au lit, mais je ne sais pas si elle voudra cette fois-ci... Je la fais doucement reculer dans le salon. « Tu peux vérifier ce que tu veux... » Je ne veux pas qu'elle parte maintenant. Je glisse mes mains sur ses fesses. « Comment je peux te convaincre ? »



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