we're getting along with peace, i hope ღ d&p

« I need to play... »

Il fait un peu froid, elle n'en ressent pas vraiment les conséquences. Elle entre dans un bar de Gotham City, la tête dans les nuages. Les brumes du braquage qu'Harley et Pam ont réussi avec succès traînent encore dans son esprit en vague. C'est réellement impressionnant ce que deux femmes peuvent réussir avec pour seules armes : imagination et folie. En tout cas, ça vaut le coup parce qu'elle va pouvoir se faire un jolie festin sans avoir recours à ses charmes. Elle verra plus tard si elle ira au lounge ou pas. Il faut rester zen parce qu'elle n'est pas une hors-la-loi ici. Elle s'approche du bar où des chaises hautes sont alignées juste devant. Sa robe épouse parfaitement sa taille fine et sa couleur vert pomme souligne sa chevelure flamboyante et sa peau diaphane. Elle prend une profonde respiration, hèle un barman et lui fait les yeux doux. Alors qu'elle s'assoit ce qui fait que sa robe remonte sur ses cuisses qu'elle croise immédiatement mais avec beaucoup d'élégance. « Cosmo s'il vous plaît ? » demande Pam, charmante. Un petit sourire suffit à prendre le barman dans ses filets et s'en amuse toujours autant, les hommes sont si faciles. Un jeu de jambe, une poitrine bien moulée dans une jolie robe et voilà qu'il rougit, ressemblant à une tomate un peu trop exposé au soleil. Pamela joue avec une mèche de cheveux et s'amuse à aguicher un bel homme, brun et au sourire ravageur. Quand ce dernier s'approche d'elle, aucune raison qu'elle fasse le premier pas, ça ne lui donnerait pas un bel avantage sur l'autre, elle se tourne à moitié et lui dit : « Bonsoir. Vous cherchez quelque chose ? » Et son cocktail apparaît comme par magie. Elle lui sourit, s'empêchant de mêler ses pouvoirs à ce qui va bien pouvoir se passer durant cette soirée. « Je m'appelle Pamela, au fait ! »

@dick grayson

J'ai l'esprit un peu embrumé. Peut-être un peu trop bu, oui... En même temps, j'ai retrouvé quelques amis du GCPD dans un bar de Gotham et on a fait un peu la fête. C'est rare ces temps-ci que je puisse faire ça, alors j'en profite. J'ai pas dit à Babs que j'étais dans les parages ce soir, parce qu'elle n'aime pas trop me voir dans cet état, et que franchement y'a un gros risque que je m'écroule juste sur son matelas.
Mes potes sont partis les uns après les autres, et moi je reste accoudé seul au bar à siroter un rhum. Mon regard se perd par moments devant moi. Je vais probablement dormir dans ma voiture cette nuit, je suis pas en état de conduire pour l'instant. Et je veux pas avoir honte en me pointant chez Babs... Je pourrais peut-être appeler Alfred, mais ça serait un peu du foutage de gueule.

Je vais juste attendre un peu. Allez, ce rhum c'est mon dernier verre. Je vérifie l'heure. ça va encore. Je jette un coup d’œil à la salle pour ne pas retomber dans ma semi-léthargie, et mon regard se pose sur une jolie rousse qui vient de se poser non loin. Elle m'adresse un sourire que je lui rends avec mon air charmeur. Je ne peux pas vraiment m'en empêcher, surtout dans mon état. Lui parler ne coûte rien, et je vais peut-être me faire une nouvelle amie.
Je prends mon verre et me redresse pour aller m'installer sur le siège libre à côté d'elle. Je l'ai "discrètement" observée quand elle ne me regardait pas, et on peut pas dire qu'elle soit moche. Je sais quel jeu on va jouer, probablement. Mais pourquoi pas après tout, ça ne fait de mal à personne. Je lui réponds avec toujours mon sourire ravageur. J'ai peut-être une sale tronche en vrai actuellement, mais je m'en fous. Même alcoolisé je reste plutôt pas mal. « Mes amis m'ont laissé tout seul, et je me demandais avec qui je pourrais engager une conversation... »
Je lui fais un petit signe de main lorsqu'elle se présente. « Moi c'est Dick. Enfin, Richard, mais personne ne m'appelle comme ça. » Je bois une gorgée de mon verre en me demandant si je ne vais pas en prendre un autre, finalement.

« I need to play... »

Pamela connaissait bien le regard des hommes, elle arrivait même à passer outre parfois même, les ignorer pour continuer à penser, à imaginer, à peaufiner des idées qui pourraient mettre Batman en danger. Il mériterait bien une petite leçon pour l'avoir malmené et emmené à ARKHAM sans avoir pris le temps d'écouter ce qu'elle avait à dire. Elle n'avait rien de folle, elle n'a qu'une envie : vivre en paix avec ses enfants, pouvoir se payer un endroit protéger et intouchable ; Ne pas revivre cette atrocité provoquée par la stupidité et la cupidité des humains. Elle refusait de rester en arrière, elle refusait de garder pour elle sa colère, elle refusait tout simplement d'accorder une chose pareille. Elle voulait avoir gain de cause parce que, pour Poison Ivy, c'est une noble cause. Quand l'homme s'en approcha, il coupait le fil de ses pensées même si, dans le fond, elle a bien vu son regard posé sur elle. En même temps, sa tenue et sa démarche ne passaient pas inaperçu. « Mes amis m'ont laissé tout seul, et je me demandais avec qui je pourrais engager une conversation... » Le sourcil parfaitement épilé se dressa sur son front suivit d'un petit sourire. Un homme honnête, cela existait encore ou alors était-ce tout simplement un leurre. Oui, c'était plus probable que la première option selon la rouquine. « Moi c'est Dick. Enfin, Richard, mais personne ne m'appelle comme ça. » « Va pour Dick. » lâcha la cinquantenaire, de toute façon, elle n'allait pas provoquer cet homme par son prénom de naissance. Elle avait tiré un trait sur le sien depuis tellement longtemps. « Si tu le veux bien, tous mes amis m'appelle Ivy. » souffla t-elle, en faisant le tour de son verre avec son index : « Alors comme ça tes amis t'ont laissé tomber ? » reprit-elle la conversation avec un petit air langoureux. Il ne faut pas le prendre au pied de la lettre, elle était toujours comme ça : « En quoi pourrais-je t'aider ? »

@dick grayson

Je me frotte la nuque un instant en observant la jolie rousse plus loin. Est-ce que c'est une bonne idée d'aller lui parler ? Probablement pas. Mais je m'en fous, je suis encore maître de moi-même. Et puis, elle est toute seule. Ça lui évitera qu'un gros lourdeau ne l'aborde. C'est pas moi le gros lourd, je ne suis pas en chien sur elle, même si j'ai pu admirer sa plastique un instant. Mais j'observe toujours les gens avant de les aborder.
Je souris lorsqu'elle me dit son surnom à elle. De Richard à Dick, c'est compréhensible, mais de Pamela à Ivy... Je ne vais pas lui demander d'où ça vient, ça doit être un truc entre amis qu'a donné lieu à ce surnom. « Enchanté, Ivy. » J'accompagne ma phrase d'un signe de tête et je finis mon verre en frissonnant. J'interpelle le barman et commande autre chose.

Je repose mes yeux sur mon interlocutrice et semble pensif. J'ai l'impression que je l'ai déjà vu quelque part. Je fais la moue quand elle parle de mes collègues. « Ils sont rentrés chez eux auprès de leurs copines. » Moi... C'était compliqué.
J'attrape habilement le verre que pose le serveur devant moi et m'appuie sur mon coude, observant toujours Ivy. Son charme est certain. Je fronce légèrement les sourcils. « Dis-moi, on s'est pas déjà rencontrés ? Ton visage me dit vraiment quelque chose... » Je bois une gorgée. « Ou alors tu fais de la pub ? » Je rigole doucement. « Ça m'étonnerait pas que tu sois mannequin pour de la cosmétique ou une autre marque du genre. » Je vois un homme qui la fixe d'un air prédateur et je lui fais signe d'un air sombre d'aller voir ailleurs. Ça m'agaçe tellement que certains se croient seuls au monde. Je me demande combien de fois elle a dû se faire importuner. Est-ce que je l'importune ? Je ne pense pas, vu les regards qu'elle m'avait lancé.

« I need to play... »

Ce n'était un effet nouveau de se faire aborder pour Pam, c'était même quelque chose de très courant, surtout depuis qu'elle avait évolué. Elle mûrissait avec l'âge mais avec une lenteur impressionnante et qui pourrait en faire jalouser plus d'une. La cinquantaine et en paraître dix ou quinze ans de moins, tout le monde voudrait connaître son remède miracle et encore, elles en seraient probablement pas tous chaude à passer le pas d'une première, seconde, ou troisième mort.. C'était une question de choix et de réelle volonté selon Poison Ivy, elle rien ne l'arrête depuis des années. Elle ne se cachait même plus. Les masques, c'était pour les faibles, les lâches un peu comme ce batman d'ailleurs. Cacher son visage aux yeux du monde, ça ne pouvait pas être quelqu'un qui n'avait rien à se reprocher finalement. A ARKAM elle se souvenait s'être faite cette réflexion mais ça ne durait jamais.

Elle souria quand il retourna le plaisir de la rencontrer. Malgré toutes ses possibilité à battre la nature humaine par ses particularités, elle n'a aucune mémoire des visages. Malgré tout, il semblerait, d'un petit signe furtif d'un froncement de sourcil de l'homme pour qu'elle comprenne qu'elle ne lui était peut-être pas tant étrangère que ça. Elle n'avouera rien et ne demandera aucune explication à ce changement et enchaîna sur ces paroles : « Auprès de leurs copines hein ? » Elle répèta pour se donner un peu de temps : « Je ne peux que compatir mais je t'avoue qu'être seule est quand même bien salutaire. » Et puis, intérieurement, elle s'ajouta bien une chose, avec ses enfants, elle n'était jamais vraiment seule. C'était le hic, la complication était bien là.

- Le secret professionnel m'oblige à ne pas répondre par la positive comme par la négative. J'en suis navrée. Mais c'est possible que l'on s'est déjà croisée, en effet, malheureusement, je n'ai aucune mémoire des visages.

Prêcher une part de vérité dans un pieux mensonge. Elle reconnaîtrait la bouche de ce Batman ou le cul bien moulé d'Harley dans son petit ensemble d'Arlequin. Mais il était peu probable que quelqu'un puisse jouir d'une relation aussi rapprochée, avec ces deux individus.

- Ceci dit, je ne m'oppose pas à faire la présentation d'un homme aussi charmant que vous. Vous faites quoi dans la vie ? Demanda t-elle en prenant une gorgée de son verre, arborant de beaux yeux de biche et n'hésita pas à envoyer quelques phéromones, légères mais présentes ce qui aidera l'homme à se délier la langue. La créature qu'il avait sous les yeux pouvait faire bien des choses comme séduire un homme sans qu'il puisse se contrôler. Cependant, un point à éclaircir, elle aimait être flattée, bichonnée, même durant une seule nuit alors les hommes qu'elle happait dans ses filets, n'étaient jamais vraiment paumée ou en totale contrôle. Elle les aidait à se dérider...

@dick grayson

Je me sentais bien sur mon petit nuage d'alcool, et puis j'étais en charmante compagnie. C'est sûr que ça changeait un peu des collègues policiers en uniformes ou en chemise cravate pantalon ou tailleur gris. Je ris doucement quand elle parle de sa situation de célibataire en sirotant mon nouveau verre. « Le célibat a du bon et du mauvais, et le couple aussi… Enfin, je crois… » ça fait longtemps que j’ai pas été réellement en couple. Mes yeux se perdent dans le vague un instant, mais je me reconcentre sur la belle femme juste à côté de moi. Elle parle de secret professionnel, et elle me dit vraiment quelque chose. La solution la plus plausible, c’est que c’est peut-être une escort girl que j’ai coffrée il y a longtemps… ça expliquerait. Et elle veut probablement pas parler de ça si son boulot est à la limite du convenable selon la société. Mais c’est vraiment ses amis qui l’appellent Ivy, du coup ?
Je sens que je me détends un peu plus alors qu’elle me dit que je suis charmant. Je m’appuie sur le bar et lui offre un beau sourire. Elle ne faisait que rendre la pareille puisqu’il l’avait compliqué d’une certaine façon sur son physique. Ses yeux étaient magnifiques. Je m’y perdis quelques instants avant de me tourner vers le barman. « Je paie sa prochaine commande. » Je bois une gorgée puis reprend mon éternel sourire. « Je suis officier de police à Blüdhaven. Je m’efforce d’éviter que la ville ne soit pas trop en bordel… En espérant que la plupart des gens puissent se promener à peu près tranquillement, voire même aller dans un bar et rencontrer une très jolie femme. » Je lui fais un petit clin d’œil. « De ton côté, j’ai bien compris qu’il y avait un secret professionnel, alors je ne demanderais pas… » Je vide mon verre et le repousse vers le barman, m’appuyant un peu plus sur mon coude et observant la rousse d’un air curieux. « T’as l’air tellement mystérieuse… » Je pense que l’alcool aide, mais je me sens attiré par elle. Je ne nierais pas non plus qu’elle est plutôt mon type.